A.-P.-F. Ménégaut de Gentilly

Soldat dans un régiment stationné à Nantes, il semble y avoir occupé un poste d'officier d'artillerie, et avait été auparavant cantonné à Saint-Domingue.

Polygraphe, il s'essaya, sous couvert de différents pseudonymes, à plusieurs genres littéraires, notamment le théâtre, la poésie et le roman historique.
Il composa ainsi des pièces en l'honneur du Premier Consul.
Sous l'Empire, son magnum opus, La Napoléonïde, publié en 1806 le mit en contact avec le ministère de l'Intérieur pour obtenir poste et pensions.
Sans que l'on sache pourquoi ni comment, dans les dictionnaires biographiques de la Restauration, il est indiqué qu'il a fini sa vie reconverti dans le commerce des épices.