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Ecclésiastique, Pâris ouvrit en 1787 une école pour enseigner les sciences, dont la géographie et l'astronomie, et les lettres.
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Description
On connaît son appartenance à la Société nationale des Neuf Sœurs grâce à un poème inséré dans l'Almanach des Grâces pour 1793 et nommé Couplets chantés chez M. Benoît, où s'était réunis plusieurs Membres de la Société des Neuf Sœurs, avec leurs épouses & plusieurs autres personnes, avant d'aller à la Séance publique, où l'on devait célébrer une fête funèbre en l'honneur de la Dixmerie (p. 167).
Mais le refus de Pâris de prêter serment à la Constitution civile du clergé l'obligea à émigrer en Angleterre en 1792. À Londres, il continua à professer les lettres et les sciences dans une école où se trouvaient, entre autres, des émigrés français.
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Profession
Description
Revenu en France en 1801, Pâris rentra à Argentan et y ouvrit un pensionnaire.
Oeuvres
Sources
CHAPPEY Jean-Luc, « La Société Nationale des Neuf Sœurs (1790-1793). Héritages et innovations d’une sociabilité littéraire et politique », dans Philippe Bourdin et Jean-Luc Chappey (dir.), Réseaux et sociabilité littéraire en Révolution, Clermont-Ferrand, Presses Universitaires Blaise-Pascal, 2007, p. 85.