Personne Internet

Adélaïde-Gillette Dufrénoy

Sexe : Femme
Année et lieu de naissance : 1765 (Nantes)
Année et lieu de décès : 1825 (Paris)
Titre :

Affiliation

Famille

Fille de Jacques Billet, joaillier de la couronne de Pologne et de Marie Madeleine Bresse.
Épouse de Simon Petit-Dufrenoy, un riche procureur au Châtelet de Paris, homme de confiance de Voltaire.
Cousine, du côté maternel, avec Jean-Louis Laya.

Formation / Études

Études poussées en latin dans le cadre d'une éducation soignée au sein de sa famille, tandis que son initiation à la poésie fut menée par Laya.

Parcours / Carrière

Catégorie

Catégorie

Sous-catégorie

Profession

Description

Un temps éprise de Fontanes, lectrice dans sa jeunesse des œuvres de Parny, Dufrénoy publia ses premiers poèmes (des romances dans le style galant très couru à l'époque) dans des revues dont le Courrier lyrique et amusant (1785-1789) qu'elle dirige à partir de 1787.

Catégorie

Catégorie

Sous-catégorie

Profession

Description

La Révolution advenue, Adélaïde-Gillette Dufrénoy entra dans une certaine gêne financière du fait d'un incendie qui ruina une bonne partie de la fortune de son mari.
Sous le Directoire, obligée de suivre son époux en dehors de la France pour occuper un emploi comme greffier, elle l'assista dans sa tâche alors que celui-ci voyait ses forces diminuer. Elle trouva quand même le temps, à côté, de continuer à versifier en composant des élégies.

Catégorie

Catégorie

Sous-catégorie

Profession

Description

Durant le Consulat, Mme Dufrénoy obtint d'une pension de la part du Premier Consul sur les sollicitations d'Arnault.
Sous l'Empire, elle sut chanter les louanges de la famille impériale avec notamment un hymne intitulé La Naissance du Roi de Rome (1811), tout en continuant de s'adonner à la composition d'élégies.
Puis, avec le retour des Bourbons sur le trône, elle continua son activité littéraire en composant des ouvrages pour la jeunesse.

Oeuvres

Nombre d’œuvres : 1